Time to Forgive « They're gone, they come back, and now it's time to forget and to forgive...» |
| | James Andrew Evans | I want to say you "I love you" | |
| | Auteur | Message |
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James A. Evans
Nombre de messages : 25 Age : 30 Localisation : # Somewhere.. Humeur : # Merdique, haha. ID Photography : Date d'inscription : 07/12/2008
« I Have Changed? » « My Relations.♦: « BlaBla Box ♦:
| Sujet: James Andrew Evans | I want to say you "I love you" Mar 9 Déc - 4:06 | |
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| | | James A. Evans
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« I Have Changed? » « My Relations.♦: « BlaBla Box ♦:
| Sujet: Re: James Andrew Evans | I want to say you "I love you" Mar 9 Déc - 4:07 | |
| « I was such a fool »
Mon Passé =
Naissance. Part one. « C’est un garçon! »
La joie qu’avait éprouvée la jeune femme qui venait d’accoucher à présent était immense. Mais moins qu’elle n’aurait dû être, pourtant. Son mari n’était pas là. Il ne serait plus jamais là. Victime d’une crise cardiaque, il avait rendu l’âme un mois plus tôt. Elle aurait tant voulu qu’il voit leur fils.. Il était tellement beau, tellement merveilleux. Lorsqu’elle lui parlait, elle avait l’impression étrange qu’il comprenait parfaitement bien. Tout ce qu’elle disait semblait parfaitement compréhensible pour le petit. Ses yeux verts brillaient d’une intelligence et d’une curiosité qu’un bébé n’était pas supposé avoir. Mais il n’était pas normal. C’était SON bébé. Son enfant. Son fils.
« Il s’appellera James. James Andrew Evans. »
C’était ce qu’elle avait dit avant de s’endormir avec son fils dans les bras, qui s’endormit à son tour contre elle. Ensemble, ils seraient plus forts que tout. Les liens entre un fils et sa mère pouvaient dépasser l’entendement. Elle aimait son fils tellement fort qu’elle s’oubliait. James serait toute sa vie, et à partir de ce moment-là elle comprit qu’elle ne pourrait pas se passer du jeune garçon. Il était celui qu’elle attendait pour se réveiller. Son fils, c’était l’être le plus merveilleux qui soit, excepté son mari. Elle avait tellement de chance.. Si seulement l’homme de sa vie n’était pas mort un mois plus tôt. Une chance que son fils est alors venu au monde, parce que sinon elle serait si dépressive qu’elle en mourait, je suppose. Ou alors elle se suiciderait. Hé oui, sa mère était à tendance suicidaire. Pauvre James.. Il allait avoir du pain sur la planche.
Enfance. Part two. « Nah, lâche ça! » cria un petit garçon blond.
C’était Lucas, son meilleur ami. Plutôt têtu, le bonhomme. James tenait très bien son bout de pelle en plastique, et il s’amusait comme un fou des réactions de son ami. Le visage du jeune garçon blond vira soudainement au rouge, déclenchant l’hilarité chez son copain brun. Puis, Lucas sembla se calmer et James lui rendit sa pelle en haussant des épaules, le genre fataliste.
« Tu vois, quand tu veux.. » fit le jeune Evans.
Celui qui était très fâché il y a seulement deux instants partit soudainement à rire lui aussi. Étrange, mais néanmoins beaucoup moins embarrassant que d’être affublé d’un gamin rouge comme un homard. Lucas et lui s’étaient rencontrés deux semaines plus tôt, alors que son ami lui avait avoué ne pas avoir ni logement ni famille. Il habite son grenier, et ses parents n’en savent rien. Ils savent juste que James a réquisitionné le grenier et que c’est rendu interdiction d’y entrer. S’il faut quelque chose, il faut le demander au jeune brun qui pourra vous aider. Tout ça pour protéger son ami, orphelin désormais. Sa mère et son père étaient morts dans un accident d’auto deux mois auparavant. Lucas avait errer et avait trouvé une entrée pour ce grenier, étrangement. Lorsque James voulu aller chercher un livre dans le grenier, il tomba nez à nez avec lui. Lucas lui fit promettre de ne rien révéler à ses parents et le beau brun fut d’accord. Ils devinrent rapidement amis et jouaient souvent ensemble. Comme.. Maintenant.
La pelle en plastique n’avait plus aucun intérêt, ni pour James ni pour Lucas. Tous deux s’étaient assis bien calmement et parlait ensemble de tout et de rien. Ah, les sautes d’humeur.. Mais il préférait ça plutôt que de chicaner avec monsieur j’ai-toujours-raison. Ce même bonhomme-là qui était son meilleur ami sacrément têtu. Ils faisaient un duo d’enfer, certainement. Ensemble, c’était pour la vie & forever. Rien ne pourrait les séparer, ils s’étaient promis de trouver un moyen de sortir Lucas de la merde. Ils voulaient étudier ensemble, mais le jeune blond n’avait pas d’argent.. Ils trouveraient un moyen. Coûte que coûte.
Adolescence. Part three.
Lucas dormait. Lui, il n’avait pas encore terminé ses devoirs, et son copain ronflait tellement fort qu’il dû aller dehors pour être tranquille. Il avait 14 ans ce jour-là. Apportant tous ses livres à l’extérieur, il fut heureux de constater que l’air était chaud. Il regarda quelques instants le petit lac en arrière et il s’installa dans la ruelle proche de chez lui. Accotant son dos au mur de brique, il commença ses devoirs. Mais quelques minutes plus tard, il entendit des pas. Il sursauta légèrement et se recroquevilla dans son coin. Deux mecs qui devaient avoir 17 ans apparurent devant lui. Ils le prirent et le jetèrent dans les poubelles en riant aux éclats. Puis en le sortant, ils jetèrent de l’essence sur lui en criant « Tu sais ce qu’on fait aux mauviettes? ON LES FAIT CRAMER! » Puis ils craquèrent une allumette pour la lui jeter dessus.
Évidemment, James prit en feu. Dire cela est affreux. Il eut la sensation d’un incendie autant extérieur qu’intérieur. Il hurla, se roula sur le sol pour finalement se lancer dans le lac. C’est à ce moment-là que Lucas sortit prestement de la maison pour le sortir de là. Il semblait inquiet mais James avait la vision floue. Il sentit faiblement qu’on le transportait, mais la brûlure était toujours aussi forte. L’amenait-il.. À l’hôpital?
« Lu.. Lucas. Je.. Ne.. Je ne veux.. Pas.. je ne veux pas y.. Aller. »
« C’est obligatoire, James. Tu ne PEUX PAS rester comme ça. Désolé, vieux. »
Et c’est comme ça qu’ils se rendirent à l’hôpital, Lucas portant son ami. Il était si inquiet, si angoissé pour lui qu’il se retenait de ne pas s’effondrer là et de se prendre la tête entre ses mains. Arrivés à l’hôpital, on ne les fit pas attendre. Sitôt la porte franchie, les infirmières posèrent James sur une civière pour l’amener à l’étage des brûlés. Lorsqu’ils enlevèrent ce qui lui restait de chemise, Lucas put voir l’ampleur des dégâts. Le torse musclé de son ami était rouge, brûlé. On avait l’impression qu’on aurait put faire cuire des steaks sur sa peau sans problème. Une chance que James s’était endormi. Une infirmière le fit sortir et Lucas attendit sur le bord de la chambre, se mordillant les ongles.
Lorsque James ouvrit les yeux, était là où ses pires cauchemars ne l’avaient même pas amenés. À l’hôpital. Dans une chambre blanche, si blanche que ça faisait quasiment mal aux yeux. Son torse était enroulé dans un bandage (blanc) et une infirmière lui souriait légèrement. Il la questionna du regard, le genre qu’est-ce qui s’est passé, où suis-je, qui êtes-vous, où est Lucas, est-ce que je vais être brûlé toute ma vie, qui suis-je tant qu’à y être. Désorienté comme il était, il craignait que l’infirmière ne puisse répondre à toutes ses questions.
« Ça va aller. Tu as été gravement brûlé et ça fait deux jours que tu dors. Nous allons sûrement devoir te garder un petit bout de temps, le temps d’arranger tout ça. »
« Est-ce que.. Je vais être brûlé toute ma vie? Au fait, est-ce que je peux voir mon torse? »
L’infirmière ne répondit pas mais elle étouffa un soupir de pitié et cacha son regard. C’était si grave que ça? Elle l’aida à enlever son bandage. Lorsqu’il vit son torse, rouge, brûlé, par endroit légèrement zébré de noir, il voulu se mettre à hurler. C’était douloureux, mais rien n’était comparable à ce qu’il ressentait à ce moment-là. Il ne voulait pas croire qu’il était marqué à vie, et pourtant..
« Nous allons arranger ça, » fit l’infirmière d’une voix légèrement étranglée en l’aidant à rattacher son bandage.
Un an plus tard. Part four.
Toujours à l’hôpital à réapprendre à marcher. À réutiliser ses bras et ses jambes. Pourtant, il avait dessiné pendant son long séjour. Il avait écrit des partitions, toutes nostalgiques et mélancoliques. On avait même amené sa guitare et il fut capable de jour. Ravi, il avait longuement joué, perdu dans ses pensées à gratter les cordes de l’instrument. Personne ne voulait lui enlever son bandage et il ne pouvait le faire seul. Ça paraîtrait qu’il l’avait enlevé. Ça ne le faisait plus vraiment souffrir, par contre. Il voulait savoir ce qu’il était advenu, ce qu’ils faisaient lorsqu’ils l’endormaient. Personne ne voulait lui dire, Lucas affirmait être dans l’ignorance mais James savait que ce n’était pas le cas. Plus les mois passaient, plus Lucas semblait mieux. Un jour, il prit même un de ses dessins, un visage de jeune femme aux traits doux et lui demanda.
« Qui est-ce, James? Tu la connais? Elle est jolie, en tout cas. »
« Oh, j’aimerais bien la connaître. Mais ça vient de mon imagination de la femme parfaite, j’imagine.
Quelques minutes plus tard, la même infirmière qui s’était occupée de lui pendant tout ce temps vint le voir et lui dit :
« On veut savoir ce que tu en penses. Nous allons t’enlever ton bandage. »
Excité mais angoissé, James Andrew Evans, à présent âgé de 15 ans, bientôt 16, allait savoir ce qui se tramait. Il rejoint la demoiselle et la laissa faire, fermant les yeux. Ils le conduisirent jusqu’au miroir quelques pas plus loin et lui demandèrent d’ouvrir les yeux. Sa peau était plus.. Bronzée, on dirait. Mais ils s’étaient arrangés pour qu’elle ressemble le plus possible au reste de son corps alors la différence n’était pas visible. Sauf que dans son dos, une longue cicatrice partait de son épaule pour aller à la taille, quasiment. Fine, assez visible.
« C’est le prix à payer, » s’excusa l’infirmière.
Donc il allait toujours garder une marque de cet événement-là.
Une semaine plus tard, il sortait de l’hôpital avec Lucas.
À 16 ans. Part five.
Il allait le faire ce soir. Il fallait, quand même. C’était sa vengeance personnelle. Depuis sa sortie de l’hôpital, il avait des crises de « folies » légèrement meurtrières. Une fois, Lucas l’avait enfermé dans le grenier pour l’empêcher de faire du mal à quiconque. Le lendemain matin, il ne se souvenait quasiment de rien, mais il savait qu’il avait eu sa crise de folie. Et ce soir-là, un feu destructeur régnait dans ses beaux yeux verts. Il entra prestement dans l’appartement miteux des deux gaillards. Il alluma la lumière et sortit un flingue de sa poche.
« C’est finit, personne ne bouge! Attachez-vous au radiateur. »
Apeurés, c’est ce qu’il firent avec la paire de menotte qu’il leur lança. James savoura le revirement de la situation. La vengeance était enfin arrivée, pour toutes les souffrances qu’il avait enduré avant. Il jeta de l’essence sur eux et craqua une allumette.
« C’est pour m’avoir fait tant souffrir.. »
Il leur lança donc ça dessus et attrapa la valise sûrement pleine d’argent des deux mecs qui vendaient de la drogue, à présent. Voilà de quoi payer ses études et celles de Lucas. Leur avenir était assuré si on ne le retrouvait pas.
à 25 ans. Part six.
À présent professeur à Sacramento, tout avait changé. Il n’avait plus revu Lucas, partit faire sa vie avec une femme. Lui, toujours célibataire (malgré ses nombreuses prétendantes dans les élèves) regrettait amèrement sa vengeance. C’était débile, il le savait. La police ne l’avait pas retrouvé et ne le retrouverait donc jamais. Affaire close.. Ou pas. Ses crises avaient reprit quelques mois plus tôt. Et puis il y avait sa voisine, Anna Abel, également une de ses élèves. Elle était souvent assise dans le couloir et il passa devant elle quelques centaines de fois je suppose. Une semaine plus tard, il se décidait enfin à lui parler. Elle pleura, pleura dans ses bras en lui disant qu’elle se sentait atrocement seule. Il ne put que la trouver forte et humaine. Elle l’obnubila rapidement et il se rendit (trop tard) compte qu’il était amoureux d’elle. À présent, quand elle se sentait trop seule elle venait le voir, l’entendre parler des projets qu’il avait pour eux. Parce qu’une relation s’était ensuivie sans qu’elle proteste. Elle n’avait pas encore remarqué sa cicatrice, pourtant si visible. Ça il en avait quelques-unes sur le torse aussi, un peu sur les bras mais c’était minime. Elle ne lui avait rien demandé et il espérait que ça resterait comme ça. Il lui répétait souvent qu’il était trop dangereux pour elle (faisant faiblement allusion à ses crises). Mais leur histoire fut révélée dans le vidéo, et il partit sans dire au revoir à personne. À 29 ans, il revenait ici, parce qu’il se souvenait toujours de la jeune femme et il l’aimait toujours..
« About your feelings »
Sentiments en général sur cette vidéo. Dès qu’il a comprit que tout ça était fichu, tout ce qu’il envisageait possible, la possibilité d’oublier ce qu’il avait fait ayant 16 ans, la possibilité de tout recommencer à zéro avec la femme qu’il aimait venait de s’anéantir, sa première pensée avait été de partir. C’est ce qu’il fit, sautant dans le premier avion pour l’Angleterre. Ce qu’il expliqua à sa famille, c’était que son travail lui plaisait certes beaucoup, mais qu’il voulait une pose. Huum.. Bref, il veut faire payer celui ou celle ou la gang qui a fait cette vidéo mais il sait pertinemment bien qu’il ne retrouvera jamais qui a fait ça. Qu’il(s) ou qu’elle(s) sache(nt) au moins que ça a ruiné la vie de tellement de gens.. Bon, je suppose que c’était le but, eh bien c’est réussit! Il est ruiné, désespéré et il ne pouvait pas faire grand-chose à part retourner d’où il venait. Il ne voulait pas avoir à affronter le regard d’Anna une seconde de plus, ni des autres d’ailleurs. 4 ans plus tard, personne n’aura oublié, c’est sûr, mais il espère pouvoir repartir à zéro avec la jeune brunette.
« All Stories become to an end. »
Avatar = Andrew Cooper (LL) Prédéfini = [X] Oui [ ] Non Pseudo = Little-Surfeuz Age = 14 ans Comment avez-vous découvert TTF ? = Par Anna Abel (vous savez, le genre « Et si t’as du temps, tu pourrais venir réconforter mon petit cœur brisé sur tel forum.. Et en même temps mettre une raclée à Alex mwahaha » Je ne pouvais refuser (surtout pour la raclée xD) Meuuh nah my love <3) Présence par semaine /7 = 5/7 CODE = Autres : Je n’écoute pas la télé, désolée =/ Alors ne me parlez pas d’émissions préférées haha xD | |
| | | Anna Abel
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| Sujet: Re: James Andrew Evans | I want to say you "I love you" Mar 9 Déc - 4:26 | |
| Welcome my love <3 Frappe Alex je t'aime ^o^ *0* OH YAY OVER YOU ! c'est genre OUR SONG <3 O_O t'en a fait un perso tragique ... =_= roooh jte consolerai <3
PS : Pour l'avatar, j'avais changé le PV, juste comme ça et juste pour elle :p au cas ou vous auriez remarquer que c'est pas (Hélas) le même... | |
| | | Alex C. October
Nombre de messages : 91 ID Photography : Date d'inscription : 24/11/2008
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| Sujet: Re: James Andrew Evans | I want to say you "I love you" Mar 9 Déc - 7:17 | |
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| | | Aria H. Montgomery
Ariia ; It's like I'm walkin' on broken glass.
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| | | | Nick J. Archibald Sωєєт & Gєитℓє Cσ-A∂мιи.
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| Sujet: Re: James Andrew Evans | I want to say you "I love you" Mar 9 Déc - 12:45 | |
| Bienvenue && Bon jeu. | |
| | | Jake E. Damnson
Nombre de messages : 63 Date d'inscription : 02/12/2008
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| Sujet: Re: James Andrew Evans | I want to say you "I love you" Mar 9 Déc - 13:02 | |
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| | | James A. Evans
Nombre de messages : 25 Age : 30 Localisation : # Somewhere.. Humeur : # Merdique, haha. ID Photography : Date d'inscription : 07/12/2008
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| | | | Aria H. Montgomery
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